Two biirds.

[Abbey Scott]

Elle était mal depuis quelques jours, elle ne voulait pas rester chez elle. Une maison vide, immense, déprimante..Elle avait méditer sur son arriver, tous les événements, et en été arrivée à la rencontre avec Ethan, leur discution sur la liberté et les oiseaux. Elle était sortie de chez elle, appelant un taxi, elle demanda l'endroit où décollent les plus gros oiseaux. Le chauffaur l'avais dévisager et elle avait fini par lachez"L'aéroport s'il vous plaît", il avait sourit, il était assz vieux, la cinquantaine, cheveux grissonnant, il avait sourit et lui avait répondu "Allons voir les oiseaux de fer". elle lui avait rendu son sourire, puis il avait démarrer. Ils avaient rouler une vingtaines de minutes, arriver elle avait payé, alissant un gros pouboir, puis comme un au revoir, avait dit " Je parlerai de vous aux oiseaux", elle vavait fais un clin d'oeil, et c'était retourner pour entrer dans l'aéroport. Elle avait sortit son miroir pour regarder une dernière fois, la chauffeur, il souriait, un larme sur sa joue, puis avait redémarré.Elle entra dans l'aéroport, boulverser par cette rencontre, dans la voiture, elle avait vus un photo d'une femme et d'une petite fille avec un R.I.P en dessous, certainement sa femme et sa fille. Un avion décola, elle pensa "Qu'il soit heureux, qu'il soit libre", puis elle le suivit de regard jusqu'à ce qu'il disparaisse. Ele alla au bar, acheta un café, et alla s'assoir devant des vitres, en face de les pistes de décollages/atterissages. Soudain, quelqu'un s'assit à ses côtés.

[Ethan Jenssens]

- Toi aussi tu aimes venir à la volière, voir les oiseaux géants prendre leur envol ? Fit Ethan en souriant.

Moins une question qu'une constatation. Lui, venait à chaque fois qu'une occasion se présentait, quand les deux conditions nécéssaires -du temps, et de l'argent pour payer le taxi- se retrouvaient. Une telle chance ne s'était pas présentée depuis un mois au moins, et de ce fait, il n'avait vu l'aéroport de New-York qu'à la télé. L'endroit lui avait paru trop grand, trop bondé de monde, trop bruyant. Pas assez calme, pas assez tranquile. C'est sa rencontre avec Abbeygail, et surtout leur longue discution sur les oiseaux libres qui avait ravivé ce besoin de faire un tour dans la Volière Aux Oiseaux De Fer.

[Abbey Scott]

-Oui, dit-elle la voix tremblante, j'ai promis à quelqu'un de parler de lui aux oiseaux.

Elle l'avait promis à son chauffeur, maitenant, il devait l'avoir trouver, le numéro de portable qu'elle avez glisser au milieu des billets. Elle espérait qu'il la rappelerait, pour qu'ils parlent des oiseaux.

[Ethan Jenssens]

- Ces oiseaux-là sont tellement bavards que tu ne peux jamais en placer une, rit Ethan. Mais ils voyagent beaucoup, et ont tous parcouru le monde des centaines de fois...

Pendant qu'il disait cela, un énorme avion s'élança à une vitesse incroyable pour sa taille sur la piste, prenant de plus en plus de vitesse. Les yeux fixés sur les roues de l'appareil, Ethan compta mentalement jusqu'à dix. Les roues rentrèrent automatiquement, et les ailes prirent le relais. Il avait vu cette maneuvre des milliers de fois. C'était toujours impressionnant. Comment une masse de ferraille aussi énorme pouvait voler et donner l'impression d'être aussi légère qu'une hirondelle ?

[Abbey Scott]

-Parfois, certaines questions n'attendent pas de réponses...

Dit-elle songeant aux visages souriants de la femme et de la fille dans le taxi.

[Ethan Jenssens]

Ethan regarda la jeune fille, l'air surpris. Avait-elle lu dans es pensées ? Ou se parlait-elle à elle-même ? En tous cas, il sourit, et montra un avion plus petit que les autres, tout bleu.

- Un jour, quand j'étais petit, ma mère m'a emmené voir les avions, confia Ethan. Un pilote a accepté de m'emmener faire un tour. C'était un tout petit avion, comme celui-là. Sauf qu'il était rouge.

En souriant toujours, il ajouta :

- Un tout petit avion pour un tout petit oiseau...

[Abbey Scott]

-Mais l'oiseau a grandit...Tu avais aimé?

[Ethan Jenssens]

- J'ai été surpris. Je ne me souviens plus de l'instant, juste de mon impression.

Il baissa la tête.

- Les oiseaux de fer ne sont pas libres. A l'époque, ça m'a terriblement déçu. Je pensais qu'ils pouvaient aller où bon leur chante, voyager, survoler les mers et les océans, les continents, tourner autour de la Terre, librement.

[Abbey Scott]

-Personne n'est réllement libre..

Elle marqua un temps d'arrêt.

On a tous des promesses en cours, des devoirs envers certaines. D'une cetaine magnière, on est tous un peu esclave de nos envies, de nos sentiments. On est libre qund on a de compte à rendre à personne. Quand personne ne s'attache à nous et qu'on n 'attache à personne. Quand on ne dépend de personne..

[Ethan Jenssens]

- C'est pour cela que les Hommes ne sont pas libres, approuva Ethan. Ils s'attachent trop vite, et trop facilement. Tout le monde aime quelqu'un. Pour certains, le nombre des personnes aimées est réduit, mais ils ne sont pas libres pour autant.

[Abbey Scott]

Elle planta son regard dans celui d'Ethan.

[Ethan Jenssens]

- Quoi ? demanda Ethan sans pouvoir retenir un sourire en coin. J'ai une trace d'eye-liner sur la joue ?

[Abbey Scott]

Elle passa son doigt sur la joue d'Ethan. Fesant une mine sévére.

-Je devrait vraiument te donner des cours de maquillage!! Et puis, si tu veux devenir travestit, dis le moi. J'ai plein de vêtements à te préter.

[Ethan Jenssens]

- Ne t'inquiète pas, tu seras la première au courant, lui assura Ethan.

Il se perdit dans la contemplation du ciel bleu, sans aucun nuage. Un avion décolla. Un autre atterit. Soudain, il se tourna vers Abbey.

- Tu penses que je serais beau en travesti ? Réponds moi franchement.

[Abbey Scott]

Comme à son habitude, elle se mordit la lévre inférieur.

-Franchement.

Elle passa sa main dans les cheveux du jeunes homme.

-Tu serrai sublime.

[Ethan Jenssens]

- J'en étais sûr ! lança Ethan, triomphant. Je l'ai toujours su, j'ai un don pour ça ! Je serai le travesti le plus magnifique et le plus ressemblant de tout l'univers !

[Abbey Scott]

-Mais, d'une part, ça m'ennuyerai..

[Ethan Jenssens]

- Ah bon ? fit Ethan, faussement étonné. Tu n'apprécierai pas d'avoir une meilleure amie ? Tu sais, si tu m'appends quelques trucs, je pourrais me débrouiller =)

[Abbey Scott]

-Si, mais j'ai déjâ une meilleur amie, et si tu devenait travesti, cela serrait très très embettant, car, ça casserait mon fantasme.

[Ethan Jenssens]

- Oui, en effet... Autant éviter, répondit Ethan en souriant.

[Abbey Scott]

Elle se leva d'un bont, et courut dans tous l'aéroport. Bousculant les gens sur son passage, sans se retourner. Elle courut jusqu'au sas d'accès à la piste, et -sans vraiment savoir comment elle avait fais. Ce mela à la foule, et se retrouva sur le balcon, face aux avions. Elle enleva ses escarpins, et se hissa sur la balustrade, à quelques métres du sol. Le vent claquait sur ses joues, ses cheveux volait, elle s'assit sur le balustrade, les jambes dans le vide. La sécurité n'allait pas tardée. La morsure du froid sur ses bras nus était presque insoutenable. Mais elle rester, sous le regard intrigé des gens, autant ceux qui embarqué, que ceux était sur la balustrade, où encore, ceux derrière les baies vitrées. Elle aurait aimé que le temps s'arrête, qu'elle prenne du recul. Pourquoi avait-elle eu se sentiment de malaise. Qui l'avait pris comme ça, d'un seul coup, et que seul le vent et le froid aurait put faire partir. il l'avait fait partir, la sécurité arrivé. elle se retourna, remit ses escarpins, et partie, un sourire au lévres.

[Ethan Jenssens]

HS: Oauw ! T'es trop forte, j'adore !

Interloqué. Perdu. Stupéfait. Dérouté. Ebahi. Etonné. Surpris. Abasourdi. Ethan resta assis sur son banc, fixant l'endroit où se trouvait son amie quelques secondes auparavant. Etonnement. Amusement. Suspicion. Colère. Inquiétude. Ce fut ce dernier sentiment qui l'emporta sur tous les autres. Qu'est-ce qui avait pris à Abbey de s'enfuir à cette vitesse ? En quelques secondes, il l'avait perdue de vue, sans savoir où elle était passée, par où elle était partie. Il avait bien cru voir un éclair rouge tourner là-bas, à l'angle, vers le sas, parmis les hôtesses de l'air agacées, mais était-ce elle ? Qu'vait-il dit pour la mettre dans un tel état ? Etait-ce à cause de lui, au moins ? Il mit quelques minutes à se rendre compte que se poser des questions auquelles ils ne trouverait la réponse qu'auprès d'elle ne servait à rien. Décidé, il se leva, et se dirigea vers le sas. A mi-chemin, des agents de la sécurité passèrent en courant à toute vitesse. Ils parlaient d'une folle qui aurait escaladé la balustrade, à plus de cinq mètres du sol. Oh non. Priant de toutes ses forces pour que la "folle" ne soit pas son amie, il s mit à courir lui aussi. Vers la baie vitrée qui surplombait la piste. Si elle était sur la balustrade comme l'avaient dit les agents, il la verrait. Il jeta un coup d'oeil inquiet. Ouf, elle n'atait pas là. La ballustrade était déserte, seuls quelques pigeons s'y reposaient avant de reprendre leur envol. Une agitation innabituelle retint tout de même son attention. Des hommes en uniformes repoussaient les curieux dans un petit périmètre, autour de la balustrade. Parmis eux, Ethan reconnut l'homme blond aui parlait de la folle quelques instants plus tôt. Non, décidément ça ne pouvait pas être Abbey. Derrière lui, un cri indigné retentit, se prolongea en écho sur les murs immaculés de l'aéroport. Abbey ?! Soulagé, Ethan fit volte-face, se préparant à se jeter sur son amie et à bien lui faire comprendre de ne jamais refaire ça... Ce fut comme une douche froide, ou une baffe en pleine face. Il s'attendait à voir Abbey, dans sa robe rouge, lui sourire d'un air espiègle genre "Ha ha, tu as eu peur, hein, avoue-le !". Il vit Abbey, dans sa robe rouge, un léger sourire aux lèvres. Sauf qu'elle était entourée d'agents de la sécurité taillés comme des armoires à glaces, et pointant sur elle des armes comme on n'en voit qu'à la télé, la tenant à bonne distance. Le jeune homme ne put retenir un cri.

- Abbey ! s'écria-t-il en courant vers son amie.

Deux armoires en uniforme lui barrèrent la route, leurs mitraillettes à la main.

- Ecarte-toi petit.
- Abbey. Se contenta de dire Ethan, l'air décidé.
- Cette fille s'appelle Abbey ? demanda lagent. Tu la connais ?

Ethan hocha la tête. Il contourna les deux agents, et s'avança vers son amie.

- Oh Abbey, qu'est-ce que tu as fait ? demanda Ethan à voix basse, dans un murmure, pendant qu'un autre agent, plus fluet que les autres, arrivait en courant. Il transpirait à grosses gouttes, et tenait à la main une paire de menottes.

[Abbey Scott]

-C'est moi qui suis monté sur la balustrade, j'avais besoin de...Je t'expliquerai ne t'inquiéte pas.
Un coup de fil à mon père et je suis sortit d'ici.

-Mademoiselle, qui est cette homme?

Elle jugea vite fait Ethan , et les gardiens, hésita entre son frére ou son bf.

-Un de mes fans, il n'arrête pas de harceler, c'ets insupportable, dit-elle en appuyant sa main sur son front à la magnière d'une dramaturge.
Il peut m'accompagner au poste?

-Oui, mais qu'il ne vous parle plus.

[Ethan Jenssens]

Ethan leva les yeux au ciel. Le faire passer pour un fan hystérique ?! Soit Abbey était une très mauvaise observatrice, soit elle manquait vraiment de tact. Il allait devoir jouer la groupie, fanatique de cette jeune fille un peu folle qui venait de risquer sa vie sur la balustrade d'un aéroport. Quelle merveilleuse perspective ! Pendant que des pensées ironiques et des répliques sarcastiques lui venaient à l'esprit, Abbeygail Scott et sa garde impériale l'avaient distancé de plusieurs mètres. Il se mit à courir après eux, en appelant Abbey d'une voix qu'il espérait suraiguë. Elles e retourna, et, en battant les cils, lui lança un regard digne des meilleurs séductrices de l'Île de la Tentation. Sous l'oeil méfiant de l'agent de sécurité, Ethan fit semblant de fondre, et afficha sur ses lèvres un sourire béat. Le regard méfiant devint méprisant. Quand Abbey serait sortie d'affaire, elle allait lui payer très cher ce qu'elle lui faisait subir...

[Abbey Scott]

Arriver au post, elle appella son père, et ils la laissèrent sortir. Trop facil. Elle souriait à l'idée des représaille d'Ethan. Il allait lui en vouloir, sur! Mais, qu'allait-il lui faire subir? Elle n'en avait aucune idée..Et elle était impatiente à cette idée. Elle sortit de la cellule de dégrisement, alla dans les toillette pour passer de l'eau froide sur ses poignets rouges. Elle sortie. S'arrêta, il l'attendait, calmement. Sa jambe bouger à une vitesse halucinante. Impatiente? Rage? Aucune idée. Il avait le visage perdu dans la vague. Elle s'avança vers lui, lui pris la main, et l'entraina à l'extérieur.

-Pas trop énerver?

[Contenu sponsorisé]